Occurences de l'expression

non

pour MUSSET, Alfred de

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LE CHANDELIER (1890)

Non, on ne nous a pas volés. (Acte 1, scène 1, MAÎTRE ANDRÉ)
Non, non, je n'ai point eu de querelle, et il ne m'est rien arrivé. (Acte 1, scène 1, MAÎTRE ANDRÉ)
L'avez-vous vu, monsieur, oui ou non ? (Acte 1, scène 1, JACQUELINE)
Non ; vous voulez me mener en justice, et j'y veux aller de ce pas. (Acte 1, scène 1, JACQUELINE)
Non, je ne veux rien dire ici. (Acte 1, scène 1, JACQUELINE)
Non, cela passe toute idée ; je serai hors d'état pour huit jours de faire une addition qui ait le sens commun. (Acte 1, scène 1, MAÎTRE ANDRÉ)
Mon mari est jaloux ; on vous a vu, mais non reconnu ; vous ne pouvez pas revenir ici. (Acte 1, scène 1, JACQUELINE)
Non, Dieu merci ! (Acte 1, scène 1, JACQUELINE)
Voyons un peu, mettez-vous là, et raisonnons de nos affaires. (Acte 1, scène 1, CLAVAROCHE)
Non, celui-là ne vaut rien non plus ; vous avez un mari de plume ; il faut garder l'épée au fourreau. (Acte 1, scène 1, CLAVAROCHE)
Non, décidément, je ne puis. (Acte 1, scène 1, JACQUELINE)
De ce qu'elle fait ou de ce qu'elle pense, je n'en ai de ma vie rien su, sinon qu'elle se promène ici l'après-midi, et que j'ai soufflé sur nos vitres pour la voir marcher dans l'allée. (Acte 1, scène 2, FORTUNIO)
Que non. (Acte 1, scène 2, LA SERVANTE)
Mais non. (Acte 1, scène 2, JACQUELINE)
Non, décidément, je ne puis parler ; pardonnez-moi cette démarche inutile, et qu'il n'en soit jamais question. (Acte 1, scène 2, JACQUELINE)
Non pas tout à fait d'un ami, et cependant d'une action d'ami. (Acte 1, scène 2, JACQUELINE)
Non ; ce que j'ai à vous demander ne peut avoir de suite aussi grave, Dieu merci ! (Acte 1, scène 2, JACQUELINE)
Maintenant donc, voilà ce qui arrive : le mari, un peu soupçonneux, a fini par s'apercevoir, non du chiffon de trop, mais de l'argent de moins. (Acte 1, scène 2, JACQUELINE)
Non. (Acte 2, scène 1, JACQUELINE)
Non. (Acte 2, scène 1, JACQUELINE)
Non ! (Acte 2, scène 1, MAÎTRE ANDRÉ)
Non, je veux que tout le monde le sache. (Acte 2, scène 1, MAÎTRE ANDRÉ)
Non. (Acte 2, scène 2, LANDRY)
Il n'y en aurait pas non plus si on nous eût mis de la noce. (Acte 2, scène 2, LANDRY)
Non ; - plus j'y pense, plus je réfléchis, les moindres signes, les plus légères faveurs, tout est certain ; elle m'aime, elle m'aime, et je serais un sot fieffé si je feignais de ne pas le voir. (Acte 2, scène 4, FORTUNIO)
Non ! (Acte 2, scène 4, FORTUNIO)
Non, je n'y crois pas ; cela m'arrange de n'y pas croire. (Acte 2, scène 4, JACQUELINE)
Non ! (Acte 2, scène 4, FORTUNIO)
Non, tant d'horreur n'est pas possible ! (Acte 3, scène 2, FORTUNIO)
Non, une femme ne saurait être une statue malfaisante, à la fois vivante et glacée ! (Acte 3, scène 2, FORTUNIO)
Non, quand je le verrais de mes yeux, quand je l'entendrais de sa bouche, je ne croirais pas à un pareil métier. (Acte 3, scène 2, FORTUNIO)
Non, quand elle me souriait, elle ne m'aimait pas pour cela, mais elle souriait de voir que je l'aimais. (Acte 3, scène 2, FORTUNIO)
Non, Jacqueline n'est pas méchante ; il n'y a là ni calcul, ni froideur. (Acte 3, scène 2, FORTUNIO)
Elle ment, elle trompe, elle est femme ; elle est coquette, railleuse, joyeuse, audacieuse, mais non infâme, non insensible. (Acte 3, scène 2, FORTUNIO)
Non, cela ne se fera pas. (Acte 3, scène 3, JACQUELINE)
Non, cela me coûte et me déplaît ; je ne veux pas que ce garçon soit maltraité ; puisqu'il dit qu'il m'aime, eh bien ! (Acte 3, scène 3, JACQUELINE)
Mais non ; je n'ai pas besoin de vous. (Acte 3, scène 3, JACQUELINE)
Ce que la nécessité commande, et ce à quoi elle peut entraîner, un autre que vous le comprendrait peut-être, et pourrait, sinon pardonner, du moins excuser ma conduite ; mais vous êtes malheureusement une partie trop intéressée pour en juger avec indulgence. (Acte 3, scène 3, JACQUELINE)
Sinon à vous donner ma vie ? (Acte 3, scène 3, FORTUNIO)
Sinon au plus chétif usage que vous voudrez faire de moi ? (Acte 3, scène 3, FORTUNIO)
Sinon à vous suivre, à vous préserver, à écarter de vos pieds une épine ? (Acte 3, scène 3, FORTUNIO)
Non ! (Acte 3, scène 3, FORTUNIO)
Non, vous souffrez, le mal est fait. (Acte 3, scène 3, JACQUELINE)

CARMOSINE (1852)

Mais c'est votre unique passe-temps de nous inonder de discours inutiles. (Acte 1, scène 1, MAÎTRE BERNARD)
Que votre fille ait faim ou non, elle y viendra, et vous jugerez par vous-même de ce qui se passe dans son coeur. (Acte 1, scène 1, DAME PÂQUE)
Non, mes doutes sont injustes ; elle ne peut être infidèle au passé. (Acte 1, scène 2, PERILLO)
ton coeur n'a pas changé, j'en suis sûr, le mien non plus, et maintenant... (Acte 1, scène 3, MAÎTRE BERNARD)
Non, mon ami, tu resteras. (Acte 1, scène 3, MAÎTRE BERNARD)
Prenons nos précautions tout doucement, avec ménagement. (Acte 1, scène 3, MAÎTRE BERNARD)
Non, je me trompe, c'étaient des gens comme nous, tous nos voisins d'abord, et nos amis, puis une foule, une foule innombrable qui descendait par la Grand'-Rue, et qui se renouvelait sans cesse ; plus le flot s'écoulait, plus il grossissait, et tout ce monde se dirigeait vers l'église, qui resplendissait de lumière. (Acte 1, scène 5, CARMOSINE)
Non, mon enfant, non, pas encore ; il attend qu'on l'avertisse pour se montrer. (Acte 1, scène 5, MAÎTRE BERNARD)
ton compagnon d'enfance, ce digne et excellent garçon, le fils unique de mon meilleur ami, tu refuserais de le voir ? (Acte 1, scène 5, MAÎTRE BERNARD)
Rien, non,... (Acte 1, scène 5, CARMOSINE)
Non, je veux dire... (Acte 1, scène 5, MAÎTRE BERNARD)
À mes yeux, c'est là le moindre de ses mérites ; non que je méprise une bonne chanson, il n'y a rien qui aille mieux à table avec un verre de cerigo ; mais avant d'être un savant musicien, un troubadour, comme on dit, Minuccio, pour moi, est un honnête homme, un bon, loyal et ancien ami, tout jeune et frivole qu'il paraît, ami dévoué à notre famille, le meilleur peut-être qui nous reste depuis la mort du père d'Antoine. (Acte 1, scène 7, MAÎTRE BERNARD)
Pas un ne s'en défendra, sinon je le déclare indigne de pitié, car son malheur est d'être un sot. (Acte 1, scène 8, MINUCCIO)
J'espère d'abord que tu ne le révéleras à aucune créature vivante, sinon à celui que je te dirai ; ensuite, qu'autant qu'il te sera possible, tu m'aideras, n'est-ce pas ? (Acte 1, scène 9, CARMOSINE)
Non, je ne crois pas qu'il y ait au monde une chose plus impatientante, plus plate, plus creuse, plus nauséabonde, plus inutilement boursoufflée, qu'un imbécile qui vous plante un mot à la place d'une pensée, qui écrit à côté de ce qu'il voudrait dire, et qui fait de Pégase un cheval de bois comme aux courses de bagues pour s'y essouffler l'âme à accrocher ses rimes ! (Acte 2, scène 2, MINUCCIO)
Messeigneurs, je vous annonce le roi. (Acte 2, scène 3, SER VESPASIANO)
En vérité, je joue depuis hier, en toute chose, d'un merveilleux guignon. (Acte 2, scène 3, SER VESPASIANO)
Je souhaitais d'avoir ces terres, non pour le bien qu'elles rapportent, mais seulement pour m'arrondir ; cela m'encadrait singulièrement. (Acte 2, scène 3, SER VESPASIANO)
Mais non, pas du tout, c'est que tu ne sais rien, car tout le piquant de l'affaire, c'est que j'avais annoncé mon mariage au roi. (Acte 2, scène 3, SER VESPASIANO)
Il faut que je te parle, viens avec moi ; il faut que tu renonces à ce projet que tu as... (Acte 2, scène 3, MINUCCIO)
Non, par le ciel ! (Acte 2, scène 5, LE ROI)
Je vous le répète, soyez unis ; plus de dissentiments, de rivalité, chez les grands comme chez les petits ; sinon, si vous ne voulez pas ; si, au lieu de vous entraider, comme la loi divine l'ordonne, vous manquez au respect de vos propres lois, par la croix-Dieu ! (Acte 2, scène 5, LE ROI)
Ils savent que non. (Acte 2, scène 5, LA REINE)
Non, Sire, non, vous vous trompez. (Acte 2, scène 5, PERILLO)
Nous vous interrogeons, répondez ; sinon, nous dirons que vous n'êtes pas plus habile à repartir un mot de courtoisie... (Acte 2, scène 6, PREMIÈRE DEMOISELLE)
Non, je me trompe, c'est une romance que je tâche de me rappeler. (Acte 2, scène 6, MINUCCIO)
Non, madame. (Acte 2, scène 7, MINUCCIO)
Non, madame, [et elle aime jusqu'à en mourir. (Acte 2, scène 7, MINUCCIO)
La pauvre dédaignée ne s'abuse pas, elle sait que sa folle passion doit rester cachée dans son coeur ; [elle s'étudie incessamment à ce que personne n'en pénètre le secret ; elle évite toute occasion de revoir l'objet de son amour ; elle se défend même de prononcer son nom ;] mais l'infortunée a perdu le sommeil, sa raison s'affaiblit, une langueur mortelle la fait pâlir de jour en jour ; [elle ne veut pas parler de ce qu'elle aime, et elle ne peut penser à autre chose ; elle refuse toute consolation, toute distraction ; elle repousse les remèdes que lui offre un père désolé, elle se meurt, elle se consume, elle se fond comme la neige au soleil.] Enfin, sur le bord de la tombe, la douleur l'oblige à rompre le silence. (Acte 2, scène 7, MINUCCIO)
Non, Minuccio. (Acte 2, scène 7, LA REINE)
Non, je vous le jure. (Acte 3, scène 1, PERILLO)
J'espère que non ; cependant je me sens bien coupable. (Acte 3, scène 1, CARMOSINE)
Non, je ne veux pas être importune. (Acte 3, scène , CARMOSINE)
Non, certes, mais je ne puis me défendre... (Acte 3, scène 3, MAÎTRE BERNARD)
Hé non, enragé que tu es, avec ta discrétion maussade ?] Écoute, il faut que je te dise tout, bien que tu ne veuilles me rien dire. (Acte 3, scène 3, MAÎTRE BERNARD)
que non. (Acte 3, scène 3, MINUCCIO)
Non, pas si loin que tu peux le croire. (Acte 3, scène 5, CARMOSINE)
[Je n'ai pas fait beaucoup de bien, mais je n'ai pas non plus fait grand mal. (Acte 3, scène 5, CARMOSINE)
Je ne t'aurais point non plus parlé comme je l'ai fait, si, en le faisant, je n'eusse rempli un devoir. (Acte 3, scène 5, CARMOSINE)
Non, je vous en prie, à moins que je ne vous importune. (Acte 3, scène 8, LA REINE)
Non, mon enfant, ce n'est pas lui ; mais s'il est tel qu'on me l'a dit, bon, brave, honnête (savant, peu importe), sa femme ne serait-elle pas heureuse ? (Acte 3, scène 8, LA REINE)
Imaginez que la soeur de ce prince, ou sa femme, si vous voulez, soit instruite de cet amour, qui est le secret de ma jeune amie, et que, loin de ressentir pour elle ni aversion ni jalousie, elle ait entrepris de la consoler, de la persuader, de lui servir d'appui, de l'arracher à sa retraite, pour lui donner une place auprès d'elle dans le palais même de son époux ; imaginez qu'elle trouve tout simple que cet époux victorieux, le plus vaillant chevalier de son royaume, ait inspiré un sentiment que tout le monde comprendra sans peine ; figurez-vous qu'elle n'a aucune défiance, aucune crainte de sa jeune rivale, non qu'elle fasse injure à sa beauté, mais parce qu'elle croit à son honneur ; supposez qu'elle veuille enfin que cette enfant, qui a osé aimer un si grand prince, ose l'avouer, afin que cet amour, tristement caché dans la solitude, s'épure en se montrant au grand jour, et s'ennoblisse par sa cause même. (Acte 3, scène 8, LA REINE)
Non, je vous en prie ! (Acte 3, scène 8, CARMOSINE)
Non, Sire, pas encore,... (Acte 3, scène 9, MAÎTRE BERNARD)
Non, Sire. (Acte 3, scène 9, CARMOSINE)

BETTINE (1876)

Non, ils étaient tous deux tout seuls, madame et monsieur le baron, et ils se sont donné ainsi un grand concert en tête à tête. (Acte 1, scène 1, CALABRE)
Non, par moi-même, je ne m'en doute pas. (Acte 1, scène 3, CALABRE)
Non, il a peut-être faim ; vite, un flacon de moscatelle et un grand plat de macaroni. (Acte 1, scène 5, BETTINE)
Non, Madame, pas si bête ! (Acte 1, scène 5, CALABRE)
Non, Madame ; Monsieur_le_Baron m'a ordonné expressément... (Acte 1, scène 5, CALABRE)
Non pas, non pas, ma belle, Dieu m'en garde ! (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
Renoncez-vous au théâtre ? (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
Mais vous ne renoncez pas du moins à la musique ? (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
Non, mais sa famille habite la France. (Acte 1, scène 6, BETTINE)
Non, Madame, je ne sais pas au juste, mais il m'a dit que cela ne le gênait point. (Acte 1, scène 7, CALABRE)
Non, non ! (Acte 1, scène 8, CALABRE)
Non, Monsieur_Capsucefalo, non, pas encore ; dans un instant, dans une minute. (Acte 1, scène 8, CALABRE)
Non, tant d'amour ne sera point un rêve ! (Acte 1, scène 11, STEINBERG)
Bettine, signons à l'instant même. (Acte 1, scène 11, STEINBERG)
Non, mais, je vous l'ai dit, c'est un ancien ami. (Acte 1, scène 14, BETTINE)
Cette lettre vient d'un créancier qui m'annonce tout d'un coup un voyage, qui prétexte un départ subit pour me demander de l'or, comme votre marquis pour vous en donner. (Acte 1, scène 15, STEINBERG)
Non pas. Croyez-vous, s'il vous plaît, que je ne sache pas par coeur ces finesses, ces artifices de comédie, ces petites ruses de coulisse ? (Acte 1, scène 15, STEINBERG)
Signons notre contrat ; dès cet instant, vous êtes mon mari. (Acte 1, scène 15, BETTINE)
Non, madame, je vous le répète, il ne faut pas croire que monsieur le Baron vous ait dit là son dernier mot, ni même qu'il ait parlé sincèrement ; non, c'est impossible. Il changera de langage quand son dépit sera calmé, car ce n'est pas contre vous qu'il peut être irrité ; il reviendra, madame, il va revenir. (Acte 1, scène 16, CALABRE)
Non ! (Acte 1, scène 16, BETTINE)
Non, Dieu m'en garde ! (Acte 1, scène 17, LE MARQUIS)
Ne vous fâchez pas, de grâce, et ne vous défendez pas non plus. (Acte 1, scène 17, LE MARQUIS)
Non, il n'y a pas plus de deux minutes, et, je vous le dis, j'ai compris vaguement. (Acte 1, scène 17, LE MARQUIS)
Non, Stéfani, restez, je vous en prie. (Acte 1, scène 17, BETTINE)
Non pas, car je comprends vos craintes... (Acte 1, scène 17, BETTINE)
Non, ce n'est pas lui, c'est son valet de chambre. (Acte 1, scène 17, LE MARQUIS)
Qu'êtes-vous donc venu lui annoncer ? (Acte 1, scène 18, LE MARQUIS)
Non, non !... (Acte 1, scène 18, BETTINE)
« Et que je puisse revenir ou non, vous pouvez compter, chère Bettine, que vous recevrez bientôt de mes nouvelles. (Acte 1, scène 18, LE MARQUIS)
Que le monde prononce ton nom quand il voudra parler d'un ingrat ! (Acte 1, scène 18, BETTINE)
Non, monsieur, cela signifie autre chose. (Acte 1, scène 18, CALABRE)
Moi, non pas aujourd'hui, non pas demain, non pas dans un mois ni dans six, mais quand vous voudrez, quand cela vous plaira, si jamais cela peut vous plaire, quand vous serez calmée, guérie, redevenue tout à fait vous-même, c'est-à-dire gaie, aimable et charmante ; quand la blessure qu'un ingrat vous a faite s'effacera avec les jours d'oubli, oui, je le répète, je m'offre à vous. (Acte 1, scène 18, LE MARQUIS)
Non, je crois ce que vous me dites ; mais il y a une réflexion que vous n'avez pas faite. (Acte 1, scène 18, BETTINE)
Non, je ne le vois pas. (Acte 1, scène 18, BETTINE)
Oui, je me souviens que, ce matin, vous me disiez qu'une fois mariée, vous y comptiez renoncer pour toujours ; mais je vous ai répondu, ce me semble, que ce n'était point mon avis, ni de mon goût, je vous assure. Est-ce qu'on résiste à son talent ? (Acte 1, scène 18, LE MARQUIS)
Que non pas ! (Acte 1, scène 18, LE MARQUIS)
Et vous non plus, Bettine, vous ne vous tairez pas. (Acte 1, scène 18, LE MARQUIS)

ON NE BADINE PAS AVEC L'AMOUR (1834)

Enfin c'est un diamant fin des pieds à la tête, et voilà ce que je viens annoncer à Monsieur_le_Baron. (Acte 1, scène 1, MAÎTRE BLAZIUS)
Jamais il n'y a rien eu de si pur, de si ange, de si agneau et de si colombe que cette chère nonnain ; que le seigneur Dieu du ciel la conduise ! (Acte 1, scène 1, DAME PLUCHE)
À quatre boules blanches, Seigneur : littérature, philosophie, droit romain, droit canon. (Acte 1, scène 2, MAÎTRE BLAZIUS)
Je serais bien aise de vous voir entreprendre ce garçon, - discrètement, s'entend, - devant sa cousine ; cela ne peut produire qu'un bon effet ; - faites-le parler un peu latin, - non pas précisément pendant le dîner, cela deviendrait fastidieux, et quant à moi, je n'y comprends rien ; - mais au dessert, entendez-vous ? (Acte 1, scène 2, LE BARON)
Mon_Dieu, non. (Acte 1, scène 2, PERDICAN)
Si ma cousine recule quand je lui tends la main, je vous dirai à mon tour : Excusez-moi ; l'amour peut voler un baiser, mais non pas l'amitié. (Acte 1, scène 2, PERDICAN)
Tous deux sont armés d'une égale impudence ; tous deux ont pour ventre un tonneau ; non seulement ils sont gloutons, mais ils sont gourmets ; tous deux se disputeront à dîner, non seulement la quantité, mais la qualité. (Acte 1, scène 3, LE CHOEUR)
Non, je suis lasse. (Acte 1, scène 3, CAMILLE)
Non, pas ce soir. (Acte 1, scène 3, CAMILLE)
Nous nous en souvenons, seigneur. (Acte 1, scène 4, LE CHOEUR)
Non. (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
Non. (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
Non ; mais je veux partir. (Acte 2, scène 1, CAMILLE)
Non, rien ne me restera que des os et des pattes de poulet. (Acte 2, scène , MAÎTRE BRIDAINE)
Il ne faut pas non plus vous fâcher pour cela. (Acte 2, scène 3, ROSETTE)
Non, en vérité, non, mon ami, je n'y comprends absolument rien. (Acte 2, scène 4, LE BARON)
Cependant il est impossible que votre nièce, avec l'éducation qu'elle a reçue, soit éprise d'un tel homme ; voilà ce que je dis, et ce qui fait que je n'y comprends rien non plus que vous, révérence parler. (Acte 2, scène 4, MAÎTRE BLAZIUS)
Je vous ai paru brusque et hautaine ; cela est tout simple, j'ai renoncé au monde. (Acte 2, scène 5, CAMILLE)
Non. (Acte 2, scène 5, PERDICAN)
Non. (Acte 2, scène 5, PERDICAN)
Oui et non. (Acte 2, scène 5, PERDICAN)
Vous me disiez non tout à l'heure. (Acte 2, scène 5, CAMILLE)
Ai-je dit non ? (Acte 2, scène 5, PERDICAN)
Non, ce n'est pas même une monnaie ; car la plus mince pièce d'or vaut mieux que vous, et dans quelques mains qu'elle passe, elle garde son effigie. (Acte 2, scène 5, CAMILLE)
Les complimenteurs ne m'apprendront rien ; la froide nonne qui coupera mes cheveux pâlira peut-être de sa mutilation ; mais ils ne se changeront pas en bagues et en chaînes pour courir les boudoirs ; il n'en manquera pas un seul sur ma tête lorsque le fer y passera ; je ne veux qu'un coup de ciseau, et quand le prêtre qui me bénira me mettra au doigt l'anneau d'or de mon époux céleste, la mèche de cheveux que je lui donnerai pourra lui servir de manteau. (Acte 2, scène 5, CAMILLE)
Es-tu sûre que si son mari ou son amant revenait lui dire de souffrir encore, elle répondrait non ? (Acte 2, scène 5, PERDICAN)
Sais-tu ce que c'est que des nonnes, malheureuse fille ? (Acte 2, scène 5, PERDICAN)
Tu voulais partir sans me serrer la main ; tu ne voulais revoir ni ce bois, ni cette pauvre petite fontaine qui nous regarde tout en larmes ; tu reniais les jours de ton enfance et le masque de plâtre que les nonnes t'ont placé sur les joues me refusait un baiser de frère ; mais ton coeur a battu ; il a oublié sa leçon, lui qui ne sait pas lire, et tu es revenue t'asseoir sur l'herbe où nous voilà. (Acte 2, scène 5, PERDICAN)
C'est moi qui ai vécu, et non pas un être factice créé par mon orgueil et mon ennui. (Acte 2, scène 5, PERDICAN)
D'un côté, cette manière d'interroger est tant soit peu cavalière, pour une fille de dix-huit ans ; d'un autre, les idées que ces nonnes lui ont fourrées dans la tête auront de la peine à se corriger. (Acte 3, scène 1, PERDICAN)
Non, non, Camille, je ne t'aime pas, je ne suis pas au désespoir, je n'ai pas le poignard dans le coeur, et je te le prouverai. (Acte 3, scène 2, PERDICAN)
Oui, comme tu pourras ; et tu m'aimeras mieux, tout docteur que je suis et toute paysanne que tu es, que ces pâles statues, fabriquées par les nonnes, qui ont la tête à la place du coeur, et qui sortent des cloîtres pour venir répandre dans la vie l'atmosphère humide de leurs cellules ; tu ne sais rien ; tu ne lirais pas dans un livre la prière que ta mère t'apprend, comme elle l'a apprise de sa mère ; tu ne comprends même pas le sens des paroles que tu répètes, quand tu t'agenouilles au pied de ton lit ; mais tu comprends bien que tu pries, et c'est tout ce qu'il faut à Dieu. (Acte 3, scène 3, PERDICAN)
Non, je ne t'ai pas vue. (Acte 3, scène 6, CAMILLE)
Il y en a qui disent que non. (Acte 3, scène 6, CAMILLE)
Que non. (Acte 3, scène 7, PERDICAN)
Vous verrez que non. (Acte 3, scène 7, PERDICAN)
Non, non. (Acte 3, scène 7, CAMILLE)
Non, non. (Acte 3, scène 7, CAMILLE)
Non, en vérité, je n'entrerai pas ; je sens un froid mortel qui me paralyse. (Acte 3, scène 8, PERDICAN)

L'Ã‚NE ET LE RUISSEAU (1858)

Grave, non ; mais discrète au moins. (Acte 1, scène 1, MARGUERITE)
Non, en vérité, je ne saurais dire... (Acte 1, scène 1, LA COMTESSE)
Non, Madame, non ; pour cela, je ne suis pas pressée de me marier, mais pas du tout, et ce jeune homme... (Acte 1, scène 1, MARGUERITE)
Non, non ; mais ce que je sais fort bien, c'est que, malgré cette apparence d'étourderie et de frivolité. (Acte 1, scène 1, LA COMTESSE)
Non, vraiment ; mais qu'avez-vous donc ? (Acte 1, scène 3, PRÉVANNES)
Je vous annonce le Baron... (Acte 1, scène 3, PR?VANNES)
Non, ma chère. (Acte 1, scène 3, LA COMTESSE)
Vous par exemple, tenez, Mademoiselle Margot... non... (Acte 1, scène 3, PRÉVANNES)
Il n'est pas difficile de voir si les yeux sont tristes ou non. (Acte 1, scène 4, PRÉVANNES)
Non, non, vous êtes presque mon parent ; d'ailleurs, j'ai toute confiance en vous, et j'ai besoin de parler franchement. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Non pas pour moi, je n'ai pas de rancune, et je ne fais point de cas des colères conservées. (Acte 1, scène 4, PRÉVANNES)
Je ne puis, non, je ne puis suivre le conseil que vous me donnez. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Non ; pourquoi vous en ferais-je ?... (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
Non, Madame ; et je crois que vous me rendez trop de justice pour penser autrement de moi. (Acte 1, scène 5, VALBRUN)
Non, Madame, c'est à deux pas derrière Choisy ; c'est un parc anglais; et, si j'osais jamais espérer que votre présence vînt l'embellir... (Acte 1, scène 5, VALBRUN)
Je ne dis pas non... (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
Non, Mademoiselle, et j'examine là de charmants dessins qui ne sont pas signés, mais qui n'ont que faire de l'être ; à cette fine touche, on reconnaît la main. (Acte 1, scène 6, PRÉVANNES)
Non, eût-il cent belles qualités et les meilleurs sentiments du monde, son hésitation est quelque chose d'outrageant. (Acte 1, scène 8, LA COMTESSE)
Il se prononcera ; sinon vous le mettrez à la porte, et je ne le reverrai moi-même de ma vie. (Acte 1, scène 8, PRÉVANNES)
Non, Monsieur de Prévannes, je ne veux pas me servir de vos espiègleries, je n'en ai ni le talent ni le goût. (Acte 1, scène 8, LA COMTESSE)
Non, réellement, c'est impossible. (Acte 1, scène 8, PRÉVANNES)
Non pas à moi. (Acte 1, scène 8, PRÉVANNES)
Non pas. (Acte 1, scène 8, LA COMTESSE)
Voulez-vous le suivre, oui ou non ? (Acte 1, scène 8, PRÉVANNES)
Qu'on ne vous voie plus, vous dis-je ; ou je renonce à tout, je dis tout. (Acte 1, scène 8, PRÉVANNES)
Non, son regard ressemblait à un adieu... et à un triste adieu... (Acte 1, scène 9, VALBRUN)
Elle m'a annoncé que rien ne s'opposait plus à notre mariage... et je lui ai répondu... que j'en étais ravi. (Acte 1, scène 9, VALBRUN)
Non pas, mais je craignais... (Acte 1, scène 9, PRÉVANNES)
Je le réponds que non. (Acte 1, scène 9, PRÉVANNES)
Rien du tout, non, rien, c'est tout simple. (Acte 1, scène 9, PRÉVANNES)
Non. (Acte 1, scène 9, PRÉVANNES)
Non, mais je me moque, si tu le permets, de Madame Darcy. (Acte 1, scène 9, PRÉVANNES)
Mais enfin, oui ou non, la Comtesse le plaît-elle ? (Acte 1, scène 9, PRÉVANNES)
Non ? (Acte 1, scène 9, VALBRUN)
Non. (Acte 1, scène 9, PRÉVANNES)
Non, il pourrait deviner... (Acte 1, scène 9, PRÉVANNES)
Mais non, c'est celui d'Edouard. (Acte 1, scène 10, VALBRUN)
Non, non, je ferai mieux d'entrer ici, je veux lui dire en face... (Acte 1, scène 10, VALBRUN)
Non pas, je n'en ai nulle envie. (Acte 1, scène 11, VALBRUN)
Dans mon chapeau ; c'est-à-dire non ; dans le sien, car il s'est trahi par maladresse. (Acte 1, scène 11, VALBRUN)
Non, je ne sais rien, mais j'en suis sûre. (Acte 1, scène 11, MARGUERITE)
Mais qu'il y ait un piège ou non là-dessous... (Acte 1, scène 11, VALBRUN)
Ni vous non plus... (Acte 1, scène 11, VALBRUN)
Il renonce à tout, il nous abandonne... (Acte 1, scène 12, MARGUERITE)
Non ; vous n'êtes pas aussi féroce que vous le dites. (Acte 1, scène 12, MARGUERITE)
Non ; vous supposiez que cette nouvelle allait me désoler. (Acte 1, scène 12, MARGUERITE)
Non, je ne vous dirai rien, je ne vous reprocherai rien, mais c'est une infamie ! (Acte 1, scène 12, MARGUERITE)
Vous le voyez, Monsieur de Valbrun n'a cru que trop facilement à votre lettre supposée, et grâce à vos belles roueries, comme vous les appelez, je perds non seulement l'amour, mais l'estime du seul homme que j'aime. (Acte 1, scène 13, LA COMTESSE)
Non, mais je l'ai entendu. (Acte 1, scène 13, PRÉVANNES)
Non pas, non pas, il en coûte plus cher ; cela ne se passe pas ainsi. (Acte 1, scène 13, PRÉVANNES)
Non seulement il m'a trahi; mais, pour le faire, il s'est servi de mon amitié même et de ma confiance. (Acte 1, scène 14, VALBRUN)
Non, Monsieur, je vous jure. (Acte 1, scène 14, PRÉVANNES)
Et nous, Margot, nous pardonnons-nous ? (Acte 1, scène 15, PRÉVANNES)

LORENZACCIO (1834)

Ni ma femme non plus, voisin ; la chère âme s'est tournée et retournée comme une anguille. (Acte 1, scène 3, LE MARCHAND DE SOIERIES)
Après quoi, ils ont jugé à propos de prendre une des colonnes dont je vous parle, à savoir celle de la famille des Médicis, et d'en faire un clocher, lequel clocher a poussé comme un champignon de malheur dans l'espace d'une nuit. (Acte 1, scène 3, L'ORFÈVRE)
Non, Altesse, pas encore. (Acte 1, scène 3, SALVIATI)
Tenez, regardez à la fenêtre ; c'est Lorenzo, avec sa robe de nonne. (Acte 1, scène 3, UN MASQUE)
Non, par le corps de Bacchus ! (Acte 1, scène 3, JULIEN)
Non, par le ciel ! (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
L'exemple est à craindre, et non l'intention. (Acte 1, scène 3, LA MARQUISE)
Bon, le duc est jeune, marquise, et gageons que cet habit coquet des nonnes lui allait à ravir. (Acte 1, scène 3, LE CARDINAL)
Que la marquise soit convaincue ou non, voilà le difficile à savoir. (Acte 1, scène 3, LE CARDINAL)
Non, non, je n'ai pas encore peur des ombres ! (Acte 1, scène 4, LE DUC)
Mon ami, on t'excommunie en latin et sire Maurice t'appelle un homme dangereux, le cardinal aussi ; quant au bon Valori, il est trop honnête homme pour prononcer ton nom. (Acte 1, scène 4, LE DUC)
Inquiète, non, mais affligée. (Acte 1, scène 6, MARIE)
Non ! (Acte 2, scène 1, PHILIPPE)
Mais non, cela est inutile... (Acte 2, scène 1, LE PRIEUR)
Non pas sur moi précisément. (Acte 2, scène 1, LE PRIEUR)
Non pas du premier mérite, il est vrai : pourquoi flatterais-je un homme qui ne se flatte pas lui-même ? (Acte 2, scène 2, VALORI)
Le dimanche, je vais à l'Annonciade ou à Sainte-Marie ; les moines trouvent que j'ai de la voix ; ils me mettent une robe blanche et une calotte rouge, et je fais ma partie dans les choeurs, quelquefois un petit solo : ce sont les seules occasions où je vais en public. (Acte 2, scène 2, TEBALDEO)
Je m'accuse de ce que j'ai fait, et non de ce qu'ont fait les autres. (Acte 2, scène 3, LA MARQUISE)
J'y ai répondu de vive voix, mais non par écrit. (Acte 2, scène 3, LA MARQUISE)
Non, mon père. (Acte 2, scène 3, LA MARQUISE)
Avez-vous annoncé à la personne dont il s'agit la résolution de ne plus écouter de semblables discours à l'avenir ? (Acte 2, scène 3, LE CARDINAL)
Non, mon père. (Acte 2, scène 3, LA MARQUISE)
Non, mon père. (Acte 2, scène 3, LA MARQUISE)
Lire une lettre peut être un péché mais non pas lire une signature. (Acte 2, scène 3, LA MARQUISE)
Non, non, je me trompe ; ce n'était pas ce mot-là que je voulais employer. (Acte 2, scène 3, LE CARDINAL)
Non ! (Acte 2, scène 3, LA MARQUISE)
Non, je ne l'aime pas, non, assurément ; j'ai dit que non dans ma confession, et je n'ai pas menti. (Acte 2, scène 3, LA MARQUISE)
Que la présence inattendue d'un si grand prince dans cette humble maison ne vous trouble pas, mon cher oncle, ni vous non plus, digne Venturi. (Acte 2, scène 4, LORENZO)
Ma foi, non, elle m'ennuie déjà. (Acte 2, scène 4, LE DUC)
Dis-moi donc, mignon, quelle est donc cette belle femme qui arrange ces fleurs sur cette fenêtre ? (Acte 2, scène 4, LE DUC)
Non. (Acte 2, scène 4, LORENZO)
Une autre fois, mignon ; - à l'heure qu'il est je n'ai pas de temps à perdre : - il faut que j'aille chez le Strozzi. (Acte 2, scène 4, LORENZO)
Que je suis heureux de t'avoir, mignon ! (Acte 2, scène 4, LE DUC)
Non, mon père, je ne me cacherai pas. (Acte 2, scène 5, PIERRE)
Ma foi, je ne saurais le dire, ni lui non plus. (Acte 2, scène 6, GIOMO)
Vous avez là une jolie cotte de mailles, mignon ! (Acte 2, scène 6, LORENZO)
Attendez ; non, je l'ai posée sur ce fauteuil ; non, c'était sur le lit. (Acte 2, scène 6, LORENZO)
Non, crie plus fort. (Acte 3, scène , LORENZO)
Depuis que nous trépignons dans cette chambre et que nous y mettons tout à l'envers, ils doivent être bien accoutumés à notre tapage. (Acte 3, scène , SCORONCONCOLO)
Non, par l'enfer ! (Acte 3, scène 2, PIERRE)
Les pères savent cela, mais non les enfants. (Acte 3, scène 2, PHILIPPE)
C'est devant eux que nous vous menons. (Acte 3, scène 3, L'OFFICIER)
Sachez-le, Salviati voulait séduire votre fille, mais non pas pour lui seul. (Acte 3, scène 3, LORENZO)
Que je l'aie écouté ou non, n'en parlons pas. (Acte 3, scène 3, LORENZO)
Non, je ne rougis point ; les masques de plâtre n'ont point de rougeur au service de la honte. (Acte 3, scène 3, LORENZO)
Le mal existe, mais non pas sans le bien, comme l'ombre existe, mais non sans la lumière. (Acte 3, scène 3, PHILIPPE)
Que les hommes me comprennent ou non, qu'ils agissent ou n'agissent pas, j'aurai dit tout ce que j'ai à dire ; je leur ferai tailler leurs plumes, si je ne leur fais pas nettoyer leurs piques, et l'Humanité gardera sur sa joue le soufflet de mon épée marqué en traits de sang. (Acte 3, scène 3, LORENZO)
Ma vie entière est au bout de ma dague, et que la Providence retourne ou non la tête en m'entendant frapper, je jette la nature humaine à pile ou face sur la tombe d'Alexandre ; dans deux jours, les hommes comparaîtront devant le tribunal de ma volonté. (Acte 3, scène 3, LORENZO)
Oui, faire de la soeur de sa mère la maîtresse du duc, non pas même la maîtresse, ô ma fille ! (Acte 3, scène 4, MARIE)
Non, pas dans mon boudoir ; où vous voudrez. (Acte 3, scène 5, LA MARQUISE)
Tu es étourdi, je le sais, mais tu n'es pas méchant ; non, sur Dieu, tu ne l'es pas, tu ne peux pas l'être. (Acte 3, scène 6, LA MARQUISE)
oui, je veux bien l'avouer, oui, j'ai de l'ambition, non pas pour moi ; - mais pour toi ! (Acte 3, scène 6, LA MARQUISE)
Non, je ne souffre pas. (Acte 3, scène 6, LA MARQUISE)
Ni moi non plus, à moins que ce ne soit vous. (Acte 4, scène 1, LORENZO)
Non, en vérité ; j'en suis plus mécontent que je ne puis le dire. (Acte 4, scène 1, LE DUC)
Bonsoir, mignon. (Acte 4, scène 1, LE DUC)
Nous venons chercher le corps de Louise Strozzi. (Acte 4, scène 2, LES MOINES)
Non, je ne veux pas dire un mot. (Acte 4, scène 2, PIERRE)
Pourquoi le duc vous quittait-il d'un pas si nonchalant, et en soupirant comme un écolier quand la cloche sonne ? (Acte 4, scène 4, LE CARDINAL)
Feignez ou non de me comprendre, mais souvenez-vous que mon frère est votre mari. (Acte 4, scène 4, LE CARDINAL)
Le jour où, comme femme, vous aurez pris l'empire nécessaire, non pas sur l'esprit d'Alexandre duc de Florence, mais sur le coeur d'Alexandre, votre amant, je vous apprendrai le reste, et vous saurez ce que j'attends. (Acte 4, scène 4, LE CARDINAL)
Non. (Acte 4, scène 4, LA MARQUISE)
Par tout ce qu'il y a de sacré au monde, je lui raconte tout, si vous dites "non" encore une fois. (Acte 4, scène 4, LE CARDINAL)
Non, non, non ! (Acte 4, scène 4, LA MARQUISE)
Je puis délibérer et choisir, mais non revenir sur mes pas quand j'ai choisi. (Acte 4, scène 5, LORENZO)
Non, pas moi ; allez sans moi, mes amis. (Acte 4, scène 6, PHILIPPE)
Prenez garde, mon père, il ne s'agit pas là d'un passage de Pline ; réfléchissez avant de dire non. (Acte 4, scène 6, PIERRE)
Je n'annoncerai pas cela à mes camarades. (Acte 4, scène 8, PREMIER BANNI)
Mais non, pourquoi ? (Acte 4, scène 9, LORENZO)
Non ! (Acte 4, scène 9, LORENZO)
Non ! (Acte 4, scène 9, LORENZO)
Alors nous venons, nous venons ! (Acte 4, scène 9, LORENZO)
- Non ; je ne veux pas boire. (Acte 4, scène 9, LORENZO)
Oh, non, non, je ne le pense pas. (Acte 4, scène 9, LORENZO)
- Bonsoir, mignon ; eh ! (Acte 4, scène 9, LORENZO)
Eh, mignon, eh, mignon ! (Acte 4, scène 9, LORENZO)
Eh bien, mignon, est-il déjà temps ? (Acte 4, scène 10, LE DUC)
Eh bien, mignon, qu'est-ce que tu fais donc ? (Acte 4, scène 11, LE DUC)
Faire la cour à une femme qui vous répond « oui » lorsqu'on lui demande « oui ou non », cela m'a toujours paru très sot, et tout à fait digne d'un Français. (Acte 4, scène 11, LE DUC)
Primo avulso, non deficit alter v.9 (Acte 5, scène 1, LE CARDINAL)
Non ; lis donc un peu ce papier, qu'on criait dans la rue. (Acte 5, scène 2, PHILIPPE)
Non, en vérité, je ne vois pas ce qui en résulte. (Acte 5, scène 5, L'ORFÈVRE)
Non, en vérité, je porte les mêmes habits, je marche toujours sur mes jambes, et je bâille avec ma bouche ; il n'y a de changé en moi qu'une misère : c'est que je suis plus creux et plus vide qu'une statue de fer-blanc. (Acte 5, scène 7, LORENZO)
Ne raisonnons point sur un événement qui n'est pas achevé. (Acte 5, scène 7, PHILIPPE)
Comment faut-il que je prononce ce serment ? (Acte 5, scène 8, COME)

FANTASIO (1888)

Mes amis, je vous ai annoncé, il y a déjà longtemps, les fiançailles de ma chère Elsbeth avec le prince de Mantoue. (Acte 1, scène 1, LE ROI)
Je vous annonce aujourd'hui l'arrivée de ce prince ; ce soir peut-être, demain au plus tard, il sera dans ce palais. (Acte 1, scène 1, LE ROI)
Oui ou non, es-tu des nôtres ? (Acte 1, scène 2, FACIO)
Non, ma foi. (Acte 1, scène 2, FACIO)
Non ; pourquoi cela ? (Acte 1, scène 2, SPARK)
Non, en vérité. (Acte 1, scène 2, SPARK)
Buvons, causons, analysons, déraisonnons, faisons de la politique ; imaginons des combinaisons de gouvernement ; attrapons tous les hannetons qui passent autour de cette chandelle, et mettons-les dans nos poches. (Acte 1, scène 2, FANTASIO)
Sais-tu que les canons à vapeur sont une belle chose en matière de philanthropie ? (Acte 1, scène 2, FANTASIO)
Eh bien, Marinoni ? (Acte 1, scène 3, LE PRINCE)
Que dirais-tu, Marinoni, si tu voyais ton maître revêtir un simple frac olive ? (Acte 1, scène 3, LE PRINCE)
Non, colonel. (Acte 1, scène 3, LE PRINCE)
Oui, mon ami (je t'ai accordé ce titre) ; l'important projet que je médite est inouï dans ma famille ; je prétends arriver à la cour du roi mon beau-père dans l'habillement d'un simple aide de camp ; ce n'est pas assez d'avoir envoyé un homme de ma maison recueillir les bruits sur la future princesse de Mantoue (et cet homme, Marinoni, c'est toi-même), je veux encore observer par mes yeux. (Acte 1, scène 3, LE PRINCE)
Cela est impossible, Marinoni ; je n'avais pas pensé à cela. (Acte 1, scène 3, LE PRINCE)
ce n'est pas sans peine que je renonce à mon projet. (Acte 1, scène 3, LE PRINCE)
Marinoni, mon ami, essaye mon habit de cérémonie ; je ne saurais y résister. (Acte 1, scène 3, LE PRINCE)
Être la mère d'un peuple, cela console les grands coeurs, mais non les têtes faibles. (Acte 2, scène 1, ELSBETH)
Non, certainement, il ne me forcerait pas ; et c'est pour cela que je me sacrifie. (Acte 2, scène 1, ELSBETH)
Les jardiniers et les notaires font des greffes si extraordinaires, que les pommes deviennent des citrouilles, et que les chardons sortent de la mâchoire de l'âne pour s'inonder de sauce dans le plat d'argent d'un évêque. (Acte 2, scène 1, FANTASIO)
Non pas à mes oreilles, mais à ma langue. (Acte 2, scène 1, FANTASIO)
Il le fallait pourtant bien, puisque mon mariage est presque assuré, et que je suis censé devoir supplanter Marinoni, qui me remplace. (Acte 2, scène 2, LE PRINCE)
Non, non, tu as beau dire, cela n'est point pardonnable. (Acte 2, scène 4, LE PRINCE)
Songez donc, altesse, que ce mauvais compliment s'adressait à l'aide de camp et non au prince. (Acte 2, scène 4, MARINONI)
D'un côté, je suis furieux de ce qui m'arrive, et d'un autre, je suis désolé de renoncer à mon projet. (Acte 2, scène 4, LE PRINCE)
Le prince n'est pas le prince, ni l'aide de camp non plus. (Acte 2, scène 5, LA GOUVERNANTE)
Il est déguisé, le digne seigneur, il est déguisé, comme Lindor ; celui qu'on vous a présenté comme votre futur époux n'est qu'un aide de camp nommé Marinoni. (Acte 2, scène 5, LA GOUVERNANTE)
Quant à Marinoni, cela est positif ; mais, pour ce qui est du prince véritable, il ne me l'a pas montré. (Acte 2, scène 5, LA GOUVERNANTE)
Non, non, laisse-moi me démasquer. (Acte 2, scène 6, LE PRINCE)
Car enfin, Marinoni, je conviens que c'est ta perruque qui a été enlevée ; mais n'est-ce pas toujours celle du prince de Mantoue, puisque c'est lui que l'on croit voir en toi ? (Acte 2, scène 6, LE PRINCE)
Puisque les majestés divines et humaines sont impitoyablement violées et lacérées, puisqu'il n'y a plus chez les hommes de notions du bien et du mal, puisque le roi de plusieurs milliers d'hommes éclate de rire comme un palefrenier à la vue d'une perruque, Marinoni, rends-moi mon habit. (Acte 2, scène 6, LE PRINCE)
Non, non ! (Acte 2, scène 7, ELSBETH)

BARBERINE (1890)

Ni moi non plus, je ne sais ce que tu as, et la grâce que vous me ferez, Ulric, c'est de le dire à votre femme. (Acte 1, scène 3, BARBERINE)
Non, je n'ai rien à te dire, aucun secret. (Acte 1, scène 3, ULRIC)
Mais tu n'es pas non plus un Brutus, et tu n'as pas envie de tuer notre bon roi Mathias Corvin. (Acte 1, scène 3, BARBERINE)
Non, mon amour, mais vous êtes belle. (Acte 1, scène 3, ULRIC)
Je ne serais pas fâchée non plus que mon bonnet fût doré, que ma jupe fût moins courte, et que cela fît enrager les voisins. (Acte 1, scène 3, BARBERINE)
Alors, tirant de mon sein une fiole et un poignard, j'ordonnai à cette femme de me suivre, dans le temps que les eunuques étaient tous à souper : Prenez ce breuvage, lui dis-je, et mêlez-le adroitement dans leur vin, sinon je vous poignarde tout à l'heure. (Acte 1, scène 4, LE CHEVALIER)
Non, je le vois, rien ne peut vous résister ! (Acte 1, scène 4, ROSEMBERG)
Le pire de l'affaire, c'est que je ne sais rien ; non, je ne puis rien retenir par coeur. (Acte 1, scène 4, ROSEMBERG)
Que votre mise, votre entourage, annoncent un luxe effréné ; attirez constamment les yeux. (Acte 1, scène 4, LE CHEVALIER)
- Non, messieurs, je viens pour prendre du service. (Acte 2, scène 1, ROSEMBERG)
Je suis guerrier et non philosophe, et je ne me soucie point des poètes. (Acte 2, scène 1, ULRIC)
Non, sur ma vie ! (Acte 2, scène 1, ROSEMBERG)
Non ! (Acte 2, scène 1, ROSEMBERG)
Non ! (Acte 2, scène 1, ROSEMBERG)
Non, Majesté. (Acte 2, scène 3, ROSEMBERG)
Non, elle est bonne. (Acte 3, scène 1, KALÉKAIRI)
Non, pas même avec ma perruche, pas même avec mon chien Mamouth, pas même avec le rosier qui est dans ma chambre. (Acte 3, scène 1, KALÉKAIRI)
Non, je suis allée à Constantinople, à Smyrne et à Janina, chez le pacha. (Acte 3, scène 1, KALÉKAIRI)
Prends cette bourse, et va m'annoncer. (Acte 3, scène 1, ROSEMBERG)
Va m'annoncer, ma chère enfant. (Acte 3, scène 1, ROSEMBERG)
Non pas ici. (Acte 3, scène 4, BARBERINE)
Non. (Acte 3, scène 4, KALÉKAIRI)
Non. (Acte 3, scène 4, KALÉKAIRI)
Croyez-moi, seigneur Rosemberg, ne dites pas de mal de nos quenouilles ; non pas même de nos aiguilles ; je vous le répète, ce sont nos armes. (Acte 3, scène 5, BARBERINE)
Si j'osais prononcer son nom devant vous... (Acte 3, scène 5, ROSEMBERG)
Non, je te remercie. (Acte 3, scène , BARBERINE)
Non, je le vois ! (Acte 3, scène 7, ROSEMBERG)
Non, Barberine ! (Acte 3, scène 7, ROSEMBERG)
Non, quand je suis ainsi près de vous, quand ma main tremble en touchant la vôtre, quand vos yeux s'abaissent sur moi avec ce regard qui me transporte, non ! (Acte 3, scène 7, ROSEMBERG)
Barberine, c'est impossible ; non, Dieu ne défend pas d'aimer. (Acte 3, scène 7, ROSEMBERG)
Non, sur mon âme, rien au monde. (Acte 3, scène 7, ROSEMBERG)
Non, je ne veux pas. (Acte 3, scène 8, KALÉKAIRI)
Non, je ne m'y attendais pas. (Acte 3, scène 9, ROSEMBERG)
non, je ne l'aime pas. (Acte 3, scène 9, ROSEMBERG)
Déjà je me vois arrivant à la cour, et traversant d'un pas nonchalant les longues galeries. (Acte 3, scène 9, ROSEMBERG)
Non, il n'y a rien de tel que l'audace. (Acte 3, scène 9, ROSEMBERG)
Compagnon, venez m'ouvrir ; - il ne m'entend pas : - ouvrir, ouvrir, je suis enfermé. (Acte 3, scène 9, ROSEMBERG)
Non, je n'ai pas filé, je ne file point, je ne suis point une fileuse. (Acte 3, scène 9, ROSEMBERG)
Non, par la mort ! (Acte 3, scène 9, ROSEMBERG)
Non, par le sang ! (Acte 3, scène 9, ROSEMBERG)
Non, je mourrai plutôt. (Acte 3, scène 9, ROSEMBERG)
Non, jamais je ne filerai, quand le ciel devrait m'écraser ! (Acte 3, scène 9, ROSEMBERG)
Non seulement je suis en prison, mais on veut m'avilir par le dernier des métiers. (Acte 3, scène 9, ROSEMBERG)
Non, mille fois non ! (Acte 3, scène 9, ROSEMBERG)
Compagnon, n'y a-t-il pas un soldat de garde ? (Acte 3, scène 9, ROSEMBERG)
Non, il faut que vous y restiez. (Acte 3, scène 10, KALÉKAIRI)
Non. (Acte 3, scène 10, KALÉKAIRI)
Non, au comte Ulric. (Acte 3, scène 10, KALÉKAIRI)
Non. (Acte 3, scène 10, KALÉKAIRI)
Deux dénonciations pour une ! (Acte 3, scène 10, ROSEMBERG)
Non. (Acte 3, scène 10, KALÉKAIRI)
Nous venons d'avoir au château la visite du jeune baron de Rosemberg, qui s'est dit votre ami et envoyé par vous. (Acte 3, scène , LA REINE)

ON NE SAURAIT PENSER Ã€ TOUT (1889)

Non, monsieur, je l'ai cherché partout. (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
Son Excellence me reçut à deux_heures_et_demie, et voulut bien m'annoncer elle-même que la grande-duchesse_de_Gotha était accouchée, comme je te le disais tout à l'heure, et que le roi avait fait choix de moi et de mon neveu pour aller la complimenter. (Acte 1, scène 1, LE BARON)
Non, monsieur. (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
Non, monsieur, elle soupe. (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
Non, elle dort. (Acte 1, scène 2, LE BARON)
Non, vraiment. (Acte 1, scène 2, LE BARON)
Non pas ; mon sort se décide aujourd'hui. (Acte 1, scène 2, LE MARQUIS)
Pourquoi non, si elle y consent ? (Acte 1, scène 2, LE MARQUIS)
Hé ! Non, non. (Acte 1, scène 2, LE BARON)
Non, si vous voulez. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Non, non. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Je me souviens encore de mes réveils, quand j'étais le matin dans un lit bien chaud, brisée par un voyage en poste, et que Monsieur_de_Vernon entrait dans ma chambre avec la perspective d'une cathédrale ! (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
Non, non. (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
Oui et non, c'est une chanson. (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
Non, je ne sortirai pas aujourd'hui. (Acte 1, scène 7, LE MARQUIS)
Non, c'est moi qui vous ai parlé du mien. (Acte 1, scène 7, LA COMTESSE)
Cela signifie que mon maître veut que la comtesse dise oui ou non avant ce départ, afin d'en avoir la conscience nette ; que nous partons demain matin avec le baron, qu'il ne faudrait qu'un mot pour arranger tout, et qu'au lieu de le dire, ils chantent. (Acte 1, scène 8, GERMAIN)
Non, ce n'est pas ce que je choisirais. (Acte 1, scène 9, LE MARQUIS)
Non, je vous le jure sur mon âme, et par tout ce qu'il y a de plus sacré au monde, je... (Acte 1, scène 9, LE MARQUIS)
Non, j'aime mieux ce taffetas feuille-morte. (Acte 1, scène 9, LE MARQUIS)
Oui, je vous conseille de renoncer à trouver une victime de bonne volonté. (Acte 1, scène 9, LA COMTESSE)
Mais c'est ma mort que vous m'annoncez là ! (Acte 1, scène 9, LE MARQUIS)
Ce n'est pas là ce qui vous occupe ; - non, madame, vous ne m'aimez pas. (Acte 1, scène 9, LE MARQUIS)
Non, je m'en vais. (Acte 1, scène 9, LE MARQUIS)
Mais non, elle aime le monde, les fêtes ! (Acte 1, scène 9, LE MARQUIS)
Que non, monsieur de Valberg. (Acte 1, scène 9, LA COMTESSE)
Madame, vous voyez bien que c'était moi, et non pas vous, qui avais parlé de ce voyage-là. (Acte 1, scène 9, LE MARQUIS)
Non, mais elle écrit des impertinences. (Acte 1, scène 9, LA COMTESSE)
Ne serait-ce pas un bel exemple à donner au monde, qu'un homme ayant assez d'amour pour renoncer à dire : Je veux, et une femme, sacrifiant plus encore, le plaisir de dire : Si je voulais ? (Acte 1, scène 9, LA COMTESSE)
Non pas ; où seraient mes profits ? (Acte 1, scène 9, LA COMTESSE)
Non, c'est du thé ; mais on en trouve partout. (Acte 1, scène 9, LE MARQUIS)
Non, mais emmenez-moi quelque part. (Acte 1, scène 10, LA COMTESSE)

IL FAUT QU'UNE PORTE SOIT OUVERTE OU FERMÃ‰E (1876)

Non ; mais, en le supposant, je ne le pourrais pas, car c'est un hasard que vous soyez seule, et vous allez avoir, d'ici à un quart d'heure, une cohue d'amis intimes qui me fera sauver, je vous en avertis. (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
Si vous êtes de bonne humeur, vous parlerez ; sinon, chauffez-vous. (Acte 1, scène 1, LA MARQUISE)
Non ; décidément je m'en vais. (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
Non. (Acte 1, scène 1, LA MARQUISE)
Mais vous voyez bien que tout peut se répéter, puisque vous m'apprenez que je suis à la veille d'être annoncée madame Camus. (Acte 1, scène 1, LA MARQUISE)
Non, Madame, je dis la personne, celle dont l'esprit, le sentiment, la... (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
Non. (Acte 1, scène 1, LA MARQUISE)
La belle manière de se faire aimer que de venir se planter devant une femme avec un lorgnon, de la regarder des pieds à la tête, comme une poupée dans un étalage, et de lui dire bien agréablement : Madame, je vous trouve charmante ! (Acte 1, scène 1, LA MARQUISE)
Mais non, toujours : Vous êtes jolie, et puis : Vous êtes jolie, et encore jolie. (Acte 1, scène 1, LA MARQUISE)
Non, mais, en vérité, vous êtes trop cruelle. (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
Non ; c'est seulement un ouragan, une espèce de trombe qui passe. (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
Non pas, puisque vous êtes venu. (Acte 1, scène 1, LA MARQUISE)
Non, madame ; soyez convaincue qu'à défaut de coeur, j'ai assez de bon sens pour vous respecter. (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
Vous êtes entré ici tout à l'heure sans savoir pourquoi, vous l'avez dit vous-même ; vous étiez ennuyé, vous ne saviez que faire, vous pouviez même passer pour assez grognon. (Acte 1, scène 1, LA MARQUISE)
Non, non, et non ! (Acte 1, scène 1, LA MARQUISE)
Qu'est-ce que cela me fait que vous me croyiez ou non ? (Acte 1, scène 1, LA MARQUISE)
Être prude, cela se conçoit ; dire non, se boucher les oreilles, haïr l'amour, cela se peut ; mais le nier, quelle plaisanterie ! (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
Si l'amour est une comédie, cette comédie, vieille comme le monde, sifflée ou non, est, au bout du compte, ce qu'on a encore trouvé de moins mauvais. (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
Non, Madame ; mais ces fadaises, ces balivernes qui vous ennuient, ces compliments, ces déclarations, tout ce radotage, sont de très bonnes anciennes choses, convenues, si vous voulez, fatigantes, ridicules parfois, mais qui en accompagnent une autre, laquelle est toujours jeune. (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
Non, madame ; je veux dire ceci : que l'amour est immortellement jeune, et que les façons de l'exprimer sont et demeureront éternellement vieilles. (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
Non, celui de taffetas ; voilà votre feu qui m'aveugle. (Acte 1, scène 1, LA MARQUISE)
Si le beau corps trouvé à Milo a jamais eu un modèle vivant, assurément cette grande gaillarde a eu plus d'amoureux qu'il ne lui en fallait, et elle s'est laissé aimer comme une autre, comme sa cousine Astarté, comme Aspasie et Manon_Lescaut. (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
Non, Madame ; mais je ne puis dire combien cette indifférence à la mode, cette froideur qui raille et dédaigne, cet air d'expérience qui réduit tout à rien, me font peine à voir à une jeune femme. (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
Non ; il faut d'abord que vous m'écoutiez. (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
Non, non, et non ! (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
Non, sur l'honneur, je parle du fond de l'âme. (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
La conversation que nous venons d'avoir, vos railleries, votre froideur même, m'ont entraîné plus loin qu'il ne fallait peut-être ; mais ce n'est pas d'aujourd'hui seulement, c'est du premier jour où je vous ai vue, que je vous aime, que je vous adore... (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
Non pas, mais ma femme ! (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
Mais non. (Acte 1, scène 1, LA MARQUISE)

À QUOI RÊVENT LES JEUNES FILLES (1833)

Oh ! Non, je ne crois pas. v.19 (Acte 1, scène 1, NINETTE)
Non, d'hiver : cela donne un air plus convenable. v.45 (Acte 1, scène 1, NINON)
Non, d'été : c'est plus jeune et c'est moins apprêté. v.46 (Acte 1, scène 1, NINON)
C'est Flora qui revient ; - non, non, ce n'est personne. v.52 (Acte 1, scène 1, NINON)
- Ninon, Ninon, que fais-tu de la vie ? v.58 (Acte 1, scène 1, LA VOIX)
Aujourd'hui le printemps, Ninon, demain l'hiver. v.65 (Acte 1, scène 1, LA VOIX)
Peut-être sa beauté s'appelle aussi Ninon. v.73 (Acte 1, scène 1, NINON)
Non, l'on n'a pas sonné. v.99 (Acte 1, scène 2, QUINOLA)
Ne vous inondez pas de vos flacons damnés ; v.131 (Acte 1, scène 2, LAËRTE)
Non, de par tous les saints, non, je vous remercie. v.136 (Acte 1, scène 2, LAËRTE)
Ninon, ma barbe est fraîche, et je vais t'embrasser. v.191 (Acte 1, scène 3, IRUS)
Moi, non, je n'en sais rien. v.202 (Acte 1, scène 4, FLORA)
Le vieux duc vous prenait pour son gendre, - mais non, v.290 (Acte 1, scène 4, LAËRTE)
Non ! Vous tombez du ciel comme une tragédie ; v.291 (Acte 1, scène 4, LA?RTE)
Va te coucher, Ninon ; je ne saurais dormir. v.469 (Acte 2, scène 2, NINETTE)
Ma foi, ni moi non plus. v.470 (Acte 2, scène 2, NINON)
Non, non, c'est un voleur ! v.513 (Acte 2, scène 2, LAËRTE)
Au secours ! On m'inonde. Ah ! Je suis tout mouillé ! v.514 (Acte 2, scène 2, IRUS)
Ninette ! Holà, Ninon ! v.547 (Acte 2, scène 3, LAËRTE)
Ninon ! Ninon ! v.549 (Acte 2, scène 3, LAËRTE)
Quel roman lisiez-vous, Ninon, cette semaine ? v.554 (Acte 2, scène 3, LAËRTE)
Alors votre chapeau se meurt, mais non pas vous. v.605 (Acte 2, scène 5, LAËRTE)
Non, Monsieur. v.621 (Acte 2, scène 5, QUINOLA)
Écoutez-moi, Ninon, je ne suis point coupable. v.622 (Acte 2, scène 6, SILVIO)
Je vous aime, Ninon, je vous aime à genoux. v.636 (Acte 2, scène 6, SILVIO)
Je vous aime, Ninon. v.641 (Acte 2, scène 6, SILVIO)
Je vous aime, Ninon, comme voilà mon coeur. v.649 (Acte 2, scène 6, SILVIO)
Les vôtres, mon ami, sont inondés de pleurs. v.663 (Acte 2, scène 6, NINON)
Ninon et Ninette entrent, habillées en bergères. v.681 (Acte 2, scène 7, LAËRTE)
Nous renonçons au monde, au bien de notre mère. v.689 (Acte 2, scène 7, NINETTE)

UN CAPRICE (1889)

Non, Madame, pas encore. (Acte 1, scène 1, LE DOMESTIQUE)
Non, pas davantage ; et que de choses en quinze jours ! (Acte 1, scène 1, MATHILDE)
Non, je voulais... j'espérais que peut-être ?... (Acte 1, scène 2, MATHILDE)
Non. (Acte 1, scène 2, MATHILDE)
Non pas, ma chère, tant qu'il y aura des pauvres. (Acte 1, scène 2, CHAVIGNY)
Non, je n'aime pas le rouge. (Acte 1, scène 2, CHAVIGNY)
Non, non, qu'elle entre. (Acte 1, scène 2, CHAVIGNY)
Non, je compte rester. (Acte 1, scène 3, MATHILDE)
Non, mais il n'y a qu'une bourse bleue. (Acte 1, scène 3, MADAME DE LÉRY)
Non, je ne veux pas priver ce bal de sa reine. (Acte 1, scène 3, MATHILDE)
Non, monsieur, pas la moindre. (Acte 1, scène 3, MADAME DE LÉRY)
Non, je suis toute triste, nous ferons du sentiment. (Acte 1, scène 3, MADAME DE L?RY)
Non, puisque vous me dites le contraire. (Acte 1, scène 4, MATHILDE)
Pourquoi non ? (Acte 1, scène 4, MATHILDE)
Non. (Acte 1, scène 4, CHAVIGNY)
Non, non, la main qui t'a faite ne te tuera pas ; je veux te conserver, je veux t'achever ; tu seras pour moi une relique, et je te porterai sur mon coeur ; tu m'y feras en même temps du bien et du mal ; tu me rappelleras mon amour pour lui, son oubli, ses caprices ; et qui sait ? (Acte 1, scène 5, MATHILDE)
Il ne faut pourtant pas être trop maigre non plus, parce qu'alors il ne reste plus rien. (Acte 1, scène 6, MADAME DE LÉRY)
Non, je ne peux pas ; je vais au concert. (Acte 1, scène 6, MADAME DE LÉRY)
Non ? (Acte 1, scène 6, MADAME DE LÉRY)
Non, mon enfant, ça ne se peut pas ; c'est un caprice, une fantaisie. (Acte 1, scène 6, MADAME DE LÉRY)
Non, jamais ! (Acte 1, scène 6, MATHILDE)
Non, Ernestine, et il m'a refusé... (Acte 1, scène 6, MATHILDE)
Non, je n'y étais pas ; mais j'y ai envoyé Mathilde, que vos regards semblent chercher. (Acte 1, scène 8, MADAME DE LÉRY)
Non, je lui ai prêté la mienne. (Acte 1, scène 8, MADAME DE LÉRY)
Non, pas du tout. (Acte 1, scène 8, CHAVIGNY)
Non, non, vous ne me remerciez pas ; je vous assure, moi, que vous êtes fâché. (Acte 1, scène 8, MADAME DE LÉRY)
Non, il me fait mal. (Acte 1, scène 8, CHAVIGNY)
Que non ; il n'est pas minuit. (Acte 1, scène 8, CHAVIGNY)
Non, Monsieur. (Acte 1, scène 8, LE DOMESTIQUE)
Non, monsieur ; on vient de le lui remettre. (Acte 1, scène 8, LE DOMESTIQUE)
Non, Monsieur ; il est parti sur-le-champ. (Acte 1, scène 8, LE DOMESTIQUE)
Non, Monsieur. (Acte 1, scène 8, LE DOMESTIQUE)
Non ; je vous donne ma parole d'honneur que je ne devine pas. (Acte 1, scène 8, CHAVIGNY)
Non, je me trompe. (Acte 1, scène 8, CHAVIGNY)
Mais finissez donc de me regarder. Est-ce que vous me prenez pour une lettre anonyme ? (Acte 1, scène 8, MADAME DE LÉRY)
Non. (Acte 1, scène 8, MADAME DE LÉRY)
Vous renoncez donc à ce fameux nom ? (Acte 1, scène 8, MADAME DE LÉRY)
Souriez pendant que cette porte est fermée : votre liberté est sur le seuil ; vous la retrouverez en quittant cette chambre ; ce qui s'offre à vous n'est pas le plaisir sans amour, c'est l'amour sans peine et sans amertume ; c'est le caprice, puisque nous en parlons, non l'aveugle caprice des sens, mais celui du coeur, qu'un moment fait naître et dont le souvenir est éternel. (Acte 1, scène 8, CHAVIGNY)
Ni moi non plus, Monsieur_de_Chavigny. (Acte 1, scène 8, MADAME DE LÉRY)
Ni moi non plus, Monsieur_de_Chavigny. (Acte 1, scène 8, MADAME DE LÉRY)

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IL NE FAUT JURER DE RIEN (1853)

Non, Monsieur, n'interrompez pas. (Acte 1, scène 1, VAN BUCK)
Non, Monsieur, je sais ce que je fais ; si je suis le seul de la famille qui se soit mis dans le commerce, c'est grâce à moi, ne l'oubliez pas, que les débris d'une fortune détruite ont pu encore se relever. (Acte 1, scène 1, VAN BUCK)
Mais quand je serai surnuméraire dans l'entresol d'un avoué, je vous demande ce que j'y apprendrai, sinon que tout est vanité. (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
Non ; c'est de toi que cela dépend. (Acte 1, scène 1, VAN BUCK)
Non, Monsieur ; mais, en vérité, c'est une chose inconcevable. (Acte 1, scène 1, VAN BUCK)
Non ; mais je voudrais qu'une jeune fille fut une herbe dans un bois, et non une plante dans une caisse. (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
La Baronne ne m'a jamais vu, non plus que la fille ; vous allez faire atteler, et vous irez leur faire visite. (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
Non, c'est du rouge ; où est-il passé ? (Acte 1, scène 2, LA BARONNE)
Non. (Acte 1, scène 2, LA BARONNE)
- Vingt-cinq à trente ans, ou plus jeune ; non, je n'en sais rien ; très bien ; allez danser. (Acte 1, scène 2, LA BARONNE)
De tout temps j'ai été décent, et j'espère que vous le serez, sinon je dis tout à la Baronne. (Acte 2, scène 1, VAN BUCK)
Comment une jeune fille peut-elle prononcer ce mot-là ? (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
Restez-vous ici, oui ou non ? (Acte 2, scène 1, VAN BUCK)
Si elle tourne la tête de notre côté, je l'aime, sinon, je m'en vais à Paris. (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
- Non, pas encore ; elle paraît lire attentivement. (Acte 2, scène 1, VAN BUCK)
Non ; elle avance ; la touffe d'arbres approche. (Acte 2, scène 1, VAN BUCK)
Non ; je vous ai dit qu'elle me déplaît. (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
Non, vous n'avez rien ; quatorze d'as, six et quinze, c'est quatre-vingt quinze. (Acte 2, scène 2, LA BARONNE)
Non, maman. (Acte 2, scène 2, CÉCILE)
Non ; restez donc, ça ne fait rien. (Acte 2, scène 2, LA BARONNE)
Non, maman. (Acte 2, scène 2, CÉCILE)
Si dans la soirée vous pouvez vous échapper, je vous attends ; sinon, je me brûle la cervelle. » (Acte 2, scène 2, LA BARONNE)
Voilà une lettre pour Mademoisellle de Mantes, que vous remettrez à sa femme de chambre, et non à d'autres, et en secret. (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
Mais non, tu n'es qu'un Lovelace, tu ne respires que trahisons, et la plus exécrable vengeance est ta seule soif et ton seul amour. (Acte 3, scène 1, VAN BUCK)
Mais non, vous ne craignez que la pluie, vous ne pensez qu'au mauvais temps qu'il fait, et le soin de vos bas chinés est votre seule peur et votre seul tourment. (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
C'est au contraire par la retraite que nous pourrions nous déshonorer, et non par une glorieuse campagne dont nous ne sortirons que vainqueurs. (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
Non ; c'est là, dans la bibliothèque ; c'est encore mieux ; je l'ai sous la main. (Acte 3, scène 2, LA BARONNE)
Vous me permettez un quart-d'heure d'amourette, et je renonce à toute espèce de vengeance. (Acte 3, scène 3, VALENTIN)
Non, venez là où il fait sombre ; là, sous l'ombre de ces bouleaux. (Acte 3, scène 4, VALENTIN)
Non, ma Cécile, c'est la joie et l'amour, c'est le bonheur et le désir. (Acte 3, scène 4, VALENTIN)
Non ; ma femme de chambre est sûre ; il n'y avait que faire de lui donner de l'argent. (Acte 3, scène 4, CÉCILE)
Non, je vous le jure, vous vous trompez ; c'est une pensée involontaire qui vient de me traverser l'esprit. (Acte 3, scène 4, VALENTIN)
Donnez-moi le bras, et promenons-nous. (Acte 3, scène 4, CÉCILE)
Il n'y a que les sites qui m'en plaisent ; j'en aime les paysages et non les tableaux. (Acte 3, scène 4, CÉCILE)
Que votre oncle soit brouillé ou non avec elle, il faudra bien se raccommoder. (Acte 3, scène 4, C?CILE)
Non, celle-là qui se montre à peine, et qui brille comme une larme. (Acte 3, scène 4, CÉCILE)
Non pas ; c'en est une plus chaste, et bien plus digne de respect ; vous apprendrez à l'aimer un jour, quand vous vivrez dans les métairies, et que vous aurez des pauvres à vous ; admirez-la, et gardez-vous de sourire ; c'est Cérès, déesse du pain. (Acte 3, scène 4, CÉCILE)
Non, tout se tait. (Acte 3, scène 4, VALENTIN)
Non, je me trompe... (Acte 3, scène 4, VALENTIN)

LA COUPE ET LES LÈVRES (1867)

Aux misères d'autrui. - Suis-je un esclave ou non ? v.44 (Acte 1, scène 1, FRANK)
Esprits ! Si vous venez m'annoncer ma ruine, v.202 (Acte 1, scène 3, FRANK)
Raconter tes chagrins, sinon les oublier. v.232 (Acte 1, scène 3, LA VOIX)
Non ! Non ! J'ai tout perdu. v.238 (Acte 1, scène 3, FRANK)
Non ! J'ai maudit mon père. v.239 (Acte 1, scène 3, FRANK)
Hallali, compagnons, la victoire est à nous ! - v.303 (Acte 2, scène 2, CHASSEURS)
Non, le jour ne vient pas, - non, je veille et je brûle ! v.326 (Acte 2, scène 3, FRANK)
Vos braves compagnons vont-ils entrer en guerre ? v.466 (Acte 2, scène 3, FRANK)
Parbleu ! Compagnon Frank, vous manquiez à la troupe. v.479 (Acte 2, scène 3, LE SOLDAT)
Remonte, fils du Rhin, compagnon intrépide ; v.491 (Acte 3, scène 1, LES SOLDATS)
Souper dans ce palais avec ses compagnons. v.498 (Acte 3, scène 1, LES SOLDATS)
Du coeur de la mêlée aux bouches des canons. v.501 (Acte 3, scène 1, LES SOLDATS)
Et vois tes compagnons briser leurs javelines v.645 (Acte 4, scène 1, LE CHOEUR)
À genoux, compagnons, tête nue, et silence. v.657 (Acte 4, scène 1, LE CHOEUR)
Soldats et chevaliers, braves compagnons d'armes, v.708 (Acte 4, scène 1, L'OFFICIER)
Ils inondent les ports, l'armée et les couvents. v.743 (Acte 4, scène 1, FRANK)
Non, par la sainte croix ! v.851 (Acte 4, scène 1, BELCOLORE)
Ou sinon, je me fais l'intendant de ma faim. v.942 (Acte 4, scène 1, FRANK)
C'est un gai compagnon, un brave homme de guerre, v.1131 (Acte 5, scène 2, LES MONTAGNARDS)
Dont un vieux pâtre suit son troupeau nonchalant, v.1183 (Acte 5, scène 3, FRANK)
Oh ! Non, je vous en prie. v.1209 (Acte 5, scène 3, DÉIDAMIA)
Non ! Quand l'éternité devrait m'ensevelir ! v.1273 (Acte 5, scène 3, FRANK)
Non ! Non ! Quand ton baiser devrait brûler mon âme ! v.1275 (Acte 5, scène 3, FRANK)
Non ! Quand ton Dieu jaloux devrait nous en punir ! v.1276 (Acte 5, scène 3, FRANK)
Non, mais, par le tonnerre, il faudra qu'il y vienne. v.1289 (Acte 5, scène 3, FRANK)

ANDRÃ‰ DEL SARTO (1851)

Je crois que j'ai dormi cette nuit un peu plus longtemps que de coutume ; non, l'aurore commence à peine à paraître ; tout repose dans cette maison ; il n'est pas temps encore d'ouvrir les portes. (Acte 1, scène 1, GRÉMIO)
Je ne veux rien analyser, rien savoir ; il n'y a d'heureux que les enfants qui cueillent un fruit et le portent à leurs lèvres sans penser à autre chose, sinon qu'ils l'aiment et qu'il est a portée de leurs mains. (Acte 1, scène 2, CORDIANI)
Non ! non ! (Acte 1, scène 2, CORDIANI)
Non pas pour moi. (Acte 1, scène 4, ANDRÉ)
Pardonnez-moi, mes amis ; mais, vous le savez, c'est mon ami d'enfance, c'est mon meilleur, mon plus fidèle compagnon. (Acte 1, scène 4, ANDRÉ)
Non, certainement, pour un voleur, ce n'en était pas un... (Acte 1, scène 5, GRÉMIO)
Il m'est avis que c'est Spinette la camériste, et quelle autre qu'elle pouvait être là, sinon sa maîtresse elle-même ? (Acte 1, scène 5, GR?MIO)
Ai-je entendu ou non ces paroles ; « Dans une heure et à toujours !... » (Acte 1, scène 5, GR?MIO)
Comment peux-tu prononcer ce mot-là ? (Acte 1, scène 7, ANDRÉ)
Mais quand l'argent est là, entre vos mains, qu'on n'a qu'à y puiser, que la pauvreté vous talonne, non pas pour vous, mais pour Lucrèce ! (Acte 1, scène 7, ANDR?)
Le portique de l'Annonciade m'a valu un sac de blé ! (Acte 1, scène 7, ANDR?)
Non pas, non pas ; où serait le fin sans cela ? (Acte 1, scène 8, GRÉMIO)
Non, monsieur, il est sorti comme j'appelais. (Acte 1, scène 8, GRÉMIO)
Non, l'autre. (Acte 1, scène 8, ANDRÉ)
Non, que je sache... (Acte 1, scène 8, GRÉMIO)
Non, et c'est pourquoi je loferai. (Acte 1, scène 11, LUCRÈCE)
Il n'a prononcé aucun serment sur la terre, il n'a pas trahi une épouse ; il n'a rien fait qu'aimer, et qu'être aimé. (Acte 1, scène 11, LUCRÈCE)
Toi qui lis dans mon coeur comme dans le tien, toi pour qui ma vie est un livre ouvert dont tu connais toutes les pages, crois-tu qu'on puisse renoncer sans regrets à dix ans d'innocence et de tranquillité ? (Acte 1, scène 11, LUCRÈCE)
Non, en vérité. (Acte 1, scène 12, LUCRÈCE)
Non, non... (Acte 1, scène 13, CORDIANI)
Non, c'est impossible, vois-tu ! (Acte 2, scène 4, CORDIANI)
Renonceriez-vous à vos espérances ? (Acte 2, scène 6, LIONEL)
Je crois que ce sont elles qui renoncent à moi. (Acte 2, scène 6, ANDRÉ)
Non, monsieur. (Acte 2, scène 8, CORDIANI)
Non, monsieur, vous allez souffrir beaucoup plus dans un instant. (Acte 2, scène 9, LIONEL)
Non, personne, il va mourir... (Acte 2, scène 10, ANDRÉ)
Non, maître, on espère le sauver. (Acte 2, scène 12, CÉSARIO)

LES NUITS (1852)

De ta robe d'or qui m'inonde, v.54 (Acte 1, scène 1, LE POÈTE)
Que t'en vas-tu chercher, sinon quelque hasard, v.223 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
Et que rapportes-tu, sinon quelque souffrance ? v.224 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
Je t'agaçais le soir en détours nonchalants. v.296 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
Nous nous imaginons, pauvres fous que nous sommes, v.352 (Acte 1, scène 3, LE POÈTE)
Non, - c'est à mes malheurs que je prétends sourire. v.439 (Acte 1, scène 3, LE POÈTE)
Que je ne veux pas prononcer. v.500 (Acte 1, scène 3, LA MUSE)
Pardonnons-nous ; - je romps le charme v.637 (Acte 1, scène 3, LE POÈTE)

LA NUIT VÃ‰NITIENNE (1840)

Non, non, celui qui a mis sa vie entière sur un coup de dé ne doit pas si vite abandonner la chance. (Acte 1, scène 1, RAZETTA)
Et toi, ton coeur, ta tête, ta vie, marchandés par entremetteurs, tout a été vendu au plus offrant ; une couronne de reine t'a faite esclave pour jamais ; et cependant ton fiancé, enseveli dans les délices d'une cour, attend nonchalamment que sa nouvelle épouse... (Acte 1, scène 1, RAZETTA)
Non, Razetta ; je ne puis croire que tu veuilles ma perte ; je sais qui tu es et quelle réputation tu t'es faite par des actions qui auraient dû m'éloigner de toi. (Acte 1, scène 1, LAURETTE)
Non ! (Acte 1, scène 1, RAZETTA)
? Non, tout est tranquille. (Acte 1, scène 2, LAURETTE)
Prenons cependant assez de force pour cacher ce que j'éprouve... (Acte 1, scène 2, LAURETTE)
Cependant, comme les romans ne me sont pas défendus, non plus que les comédies, les tragédies, les nouvelles, les histoires et les mémoires, je puis vous apprendre ce qu'ils m'ont appris. (Acte 1, scène 2, LE PRINCE)
Je ne sais,... je,... non... (Acte 1, scène 2, LAURETTE)
Non... je cherche... (Acte 1, scène 2, LAURETTE)
Non pas. (Acte 1, scène 2, LE PRINCE)
Peut-être ne trouvez-vous rien en moi qui les annonce. (Acte 1, scène 2, LE PRINCE)
Non. (Acte 1, scène 2, LAURETTE)
Non... (Acte 1, scène 2, LAURETTE)
Non pas que je doive porter la main sur elle,... mais mon rival !... (Acte 1, scène 3, RAZETTA)
Non ; cette fois j'ai gagé que je t'emmènerais ; allons, viens, mauvaise tête, et ne trouble le plaisir de personne. (Acte 1, scène 3, UNE VOIX DE FEMME)

LOUISON (1876)

Et la prison est là, pour un oui, pour un non, v.49 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Quand sur un talon rouge on glisse à Trianon. v.50 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Non, parbleu ! Reste là. Que veut dire ceci ? v.73 (Acte 1, scène 2, LE DUC)
Berthaud. Quel gros chignon ! v.157 (Acte 1, scène 4, BERTHAUD)
Que non pas ! je suis bien trop courtois. v.165 (Acte 1, scène 4, BERTHAUD)
Je n'en sais rien non plus ; moi, j'ai fait comme vous. v.170 (Acte 1, scène 4, BERTHAUD)
C'est la grande Nanon qui fait de l'herbe aux champs. v.174 (Acte 1, scène 4, BERTHAUD)
Non, non, j'en suis touchée. v.188 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
Non. v.196 (Acte 1, scène 4, BERTHAUD)
Pourtant, malgré vos noeuds et vos mignons souliers, v.205 (Acte 1, scène 4, BERTHAUD)
Non, le diable m'emporte. v.256 (Acte 1, scène 4, BERTHAUD)
Non, monsieur, pas ce soir. v.268 (Acte 1, scène 5, LA DUCHESSE)
Non pas pour moi. v.270 (Acte 1, scène 5, LA DUCHESSE)
Non, je ne conçois pas, sur quoi que l'on se fonde, v.275 (Acte 1, scène 5, LE DUC)
Non, vous l'êtes ce soir, et qu'avez-vous, de grâce ? v.287 (Acte 1, scène 5, LE DUC)
Mon_Dieu, non. v.290 (Acte 1, scène 5, LE DUC)
Le bonnet sur l'oreille entrer à Trianon ? v.338 (Acte 1, scène 5, LE DUC)
Non ; lorsque mon coeur parle, il raisonne bien mal. v.357 (Acte 1, scène 7, LA DUCHESSE)
Or, mam'selle Louison... Non, je dirai : Lisette. v.447 (Acte 2, scène 1, BERTHAUD)
Non,... nous sommes enclins... Ce n'est pas ça non plus. v.450 (Acte 2, scène 1, BERTHAUD)
Reprenons : Monseigneur... C'est vexant quand j'y pense ; v.451 (Acte 2, scène 1, BERTHAUD)
Non, pour un pharmacien, ça prête à l'équivoque. v.460 (Acte 2, scène 1, BERTHAUD)
Madame, si jamais... - Non, il faut que j'abrège. v.528 (Acte 2, scène 5, BERTHAUD)
Non, Madame, hésiter quand vous parlez ainsi, v.601 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
Mais non pas qu'on m'outrage ou qu'on me calomnie ; v.616 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
À mon honneur, Madame ? Et pourquoi non, de grâce ? v.619 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
Non, je l'écoute dire, et je reste muette. v.656 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
Non, mais vas-y toujours. - Reviens bientôt, Lisette. v.716 (Acte 2, scène 10, LA DUCHESSE)
Non, non, la maréchale est seule à m'accuser ; v.721 (Acte 2, scène 11, LISETTE)
Vous voyez un ami, mais non plus un époux. v.726 (Acte 2, scène 12, BERTHAUD)
Hé ! non, c'est pour m'aider. Viens, marchons de ce pas. v.737 (Acte 2, scène 12, LISETTE)
Non. - Est-ce qu'elle avait à dire quelque chose ? v.756 (Acte 2, scène 13, LA DUCHESSE)
En prononçant ce mot sans le comprendre encore, v.848 (Acte 2, scène 13, LA DUCHESSE)
Non. Aimer, c'est douter d'un autre et de soi-même, v.852 (Acte 2, scène 13, LA DUCHESSE)
Non, l'on ne vit jamais pareille extravagante. v.883 (Acte 2, scène 15, LE DUC)
M'annonçant bravement qu'il la veut épouser ! v.894 (Acte 2, scène 15, LE DUC)
Je devrais l'adorer ; mais non, je vais plutôt v.933 (Acte 2, scène 15, LE DUC)
Non. Je me croyais seul, et je rends grâce aux cieux v.961 (Acte 2, scène 15, LE DUC)
Non pas. Qui la renvoie ? v.964 (Acte 2, scène 15, LA DUCHESSE)
Non, Monseigneur, ce n'est qu'un honnête homme, v.971 (Acte 2, scène 16, LISETTE)
Non, Louise, j'ai compris, et je vois ton courage. v.984 (Acte 2, scène 16, LA MARÉCHALE)

LES CAPRICES DE MARIANNE (1834)

Non ; mais je puis poster un homme derrière la poterne, et me débarrasser du premier qui entrera. (Acte 1, scène 1, CLAUDIO)
Que non. (Acte 1, scène 1, TIBIA)
Nous ne formons pas un faisceau bien serré, et nous ne tenons guère les uns aux autres que par écrit. (Acte 1, scène 1, OCTAVE)
? Non, ne lui parle pas. (Acte 1, scène 1, COELIO)
Que celui qui est digne de le prononcer vous le dise ; que les rêves de vos nuits, que ces orangers verts, cette fraîche cascade vous l'apprennent ; que vous puissiez le chercher un beau soir, vous le trouverez sur vos lèvres ; son nom n'existe pas sans lui. (Acte 1, scène 1, OCTAVE)
Les plaisirs communs, et non les peines communes ? (Acte 1, scène 2, HERMIA)
Ayez des secrets pour moi, mon enfant, mais non pas de ceux qui vous rongent le coeur, et vous rendent insensible à tout ce qui vous entoure. (Acte 1, scène 2, HERMIA)
Maintenant, mon enfant, je ne suis plus que votre vieille soeur, incapable peut-être de soulager vos ennuis, mais non pas de les partager. (Acte 1, scène 2, HERMIA)
Non, à un chanteur. (Acte 1, scène 3, TIBIA)
Non, c'est le président qui a une jolie femme ; j'ai soupé hier avec eux. (Acte 1, scène 3, CLAUDIO)
Il y renonce, dites-vous ? (Acte 2, scène 1, OCTAVE)
Non, par le ciel ! (Acte 2, scène 1, OCTAVE)
Je n'y renoncerai pas ; je me sens moi-même une autre Marianne, et il y a du plaisir à être entêté. Ou Coelio réussira, ou j'y perdrai ma langue. (Acte 2, scène 1, OCTAVE)
Nous ne vous craignons plus. (Acte 2, scène 1, OCTAVE)
Tiens, Coelio, renonceà cette femme. (Acte 2, scène 1, OCTAVE)
Non, vous dis-je, c'est la même chose. (Acte 2, scène 1, MARIANNE)
Souvenez-vous de cette dernière phrase que vous venez de prononcer. (Acte 2, scène 3, CLAUDIO)
Parlez, que je veuille rire ou non. (Acte 2, scène 3, MARIANNE)
Je veux prendre un amant, Octave..., sinon un amant, du moins un cavalier. (Acte 2, scène 3, MARIANNE)
? Vous avez prononcé le nom de Coelio ; vous avez pensé à lui, dites-vous. (Acte 2, scène 3, OCTAVE)
Mais non pas dans mon coeur, Octave. (Acte 2, scène 6, MARIANNE)

Dans les 1895 textes du corpus, il y a 19 textes (soit une présence dans 1,00 % des textes) dans lesquels il y a 691 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 36,37 occurences par texte.

n°	Titres	Acte 1	Acte 2	Acte 3	Acte 4	Acte 5	Total
1	LE CHANDELIER	18	10	15	0	0	43
2	CARMOSINE	14	16	15	0	0	45
3	BETTINE	37	0	0	0	0	37
4	ON NE BADINE PAS AVEC L'AMOUR	12	17	10	0	0	39
5	L'?NE ET LE RUISSEAU	53	0	0	0	0	53
6	LORENZACCIO	12	25	16	26	5	84
7	FANTASIO	15	15	0	0	0	30
8	BARBERINE	9	6	37	0	0	52
9	ON NE SAURAIT PENSER ? TOUT	32	0	0	0	0	32
10	IL FAUT QU'UNE PORTE SOIT OUVERTE OU FERM?E	29	0	0	0	0	29
11	À QUOI RÊVENT LES JEUNES FILLES	14	16	0	0	0	30
12	UN CAPRICE	40	0	0	0	0	40
13	IL NE FAUT JURER DE RIEN	10	12	17	0	0	39
14	LA COUPE ET LES LÈVRES	5	4	3	6	7	25
15	ANDR? DEL SARTO	20	7	0	0	0	27
16	LES NUITS	8	0	0	0	0	8
17	LA NUIT V?NITIENNE	15	0	0	0	0	15
18	LOUISON	18	23	0	0	0	41
19	LES CAPRICES DE MARIANNE	10	11	0	0	0	21
20	LORENZACCIO	0	0	0	0	1	1
	Total	371	162	113	32	13	691